Dans l’intérêt du soutien de tous les services essentiels, le secteur de la mobilité, représenté par FEBIAC, RENTA et TRAXIO, demande explicitement au gouvernement de ne pas prendre de mesures restrictives supplémentaires à l’encontre de son secteur.
En effet, l’expérience de la fermeture de ce printemps a illustré combien il est important de disposer d’une solution de mobilité, même lorsque le droit de se déplacer est très limité mais ô combien crucial.
Le secteur utilise des protocoles clairs qui sont strictement respectés par ses membres. Par conséquent, les entreprises qui importent, distribuent, vendent, louent, fabriquent, construisent et réparent des voitures, des véhicules utilitaires, des motos, des bicyclettes, des engins de chantier et de manutention, des pneus et assure des dépannages sont parfaitement en mesure de garantir toutes les règles de sécurité, d’hygiène et de distanciation sociale.
En outre, le secteur de la mobilité fournit un service essentiel à la société en général. Il est évident que cela se fait avec des véhicules qui, par exemple, ont reçu tout l’entretien et les réparations nécessaires. Cela ne peut être garanti que si le secteur est maintenu en activité.
En outre, la fermeture d’entreprises dans le secteur de la mobilité aurait un impact sans précédent sur l’activité économique et les recettes publiques (provenant notamment des impôts et de la TVA).
Reconnaissant la gravité de la situation sanitaire actuelle, le secteur de la mobilité réaffirme son engagement à respecter strictement toutes les règles et compte sur la poursuite des activités telles qu’elles ont été menées jusqu’à présent. Le secteur note que dans les pays voisins, les activités du secteur de la mobilité sont déjà considérées comme essentielles.