Le dossier des plaques commerciales n’a pas fini de faire couler de l’encre. Plutôt mal né, il a fait l’objet d’un lobbying appuyé pour permettre aux professionnels de retrouver tous les usages qu’étaient ceux liés à leurs anciennes plaques, et plus particulièrement la défunte ZZ.
Nous ne reviendrons pas sur ce qui a été obtenu et mis en force à la fin du mois de février, ces modifications ont déjà été publiées. Il n’en reste pas moins qu’à la lecture du nouveau texte, et à la lumière des témoignages des utilisateurs, il restait encore du travail.
Nous sommes donc retournés vers la direction de la DIV. Soulignons que nous y avons reçu une oreille attentive et que la recherche d’une solution fut le maître mot.
Les problèmes liés à la plaque professionnelle ont donc été résolus : l’application qui génère l’attestation d’immatriculation provisoire a été mise à jour et elle permet maintenant de produire une attestation tant pour les véhicules qui ne sont pas préenregistrés à la DIV que pour les véhicules dont le numéro de châssis contient moins de 17 caractères.
Donc, les difficultés rencontrées avec les ancêtres, les véhicules militaires, les voitures importées, entre autres, sont derrière nous.
Il demeure un dernier volet lié à certains usages très spécifiques, comme le déplacement de véhicules partiellement homologués sous plaque Y, pour lequel une modification plus profonde de la législation doit être envisagée.
Chez TRAXIO, nous sommes donc déjà autour de la table avec des suggestions en ce sens.
Photo: DIV