TRAXIO et Jan Jambon se concertent
C’est un phénomène récurrent : un seul accident suffit à mettre à mal notre mobilité. Les heures de pointe cauchemardesques font que, chaque année, le record de bouchons précédent est dépassé.
C’est un phénomène récurrent : un seul accident suffit à mettre à mal notre mobilité. Les heures de pointe cauchemardesques font que, chaque année, le record de bouchons précédent est dépassé.
La réponse de notre arrière-ban des entreprises de dépannage-remorquage porte le nom de FAST (en Flandre) et SIABIS+ (en Wallonie). Il s’agit de systèmes au travers desquels les services de dépannage réagissent rapidement à l’appel d’urgence en assurant la signalisation et le remorquage ainsi que, le cas échéant, l’entreposage ultérieur.
En tant qu’élément essentiel de l’écosystème autoroutier, FAST résorbe rapidement le bouchon et libère la voirie. En Wallonie SIABIS+ mettra sur pied un projet similaire en menant des essais dans le namurois. FAST a déjà fait ses preuves par le passé, mais peut encore être optimisé.
Il est fréquent que les services de dépannage se retrouvent coincés dans les embouteillages qu’ils tentent de fluidifier. Les divergences d’interprétation provinciales se heurtent à la mise en place d’une coordination unanime. En outre, certaines missions ne sont pas assorties du droit de rétention. Last but not least, TRAXIO Road Support réclame de pouvoir discuter en détail des nouvelles adjudications tout comme celles en cours.
En conséquence, TRAXIO demande au ministre Jan Jambon que les services de dépannage-remorquage bénéficient du même statut que les véhicules prioritaires et qu’il y ait une coordination précise entre services provinciaux, de même qu’une concertation structurelle.